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Kaolin J. Underwood - Your Fate is Not Yours

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Mayiie
est tout bien bronzé !
Keep Calm and Gangnam Style
Mayiie
Fiche RPG
Infos de baseMessages : 494
Date d'inscription : 26/10/2014

MessageSujet: Kaolin J. Underwood - Your Fate is Not Yours Kaolin J. Underwood - Your Fate is Not Yours EmptyMer 20 Jan - 14:13






Kaolin J. Underwood

All I ever really wanted was you

Nom : Underwood. Normalement, son nom aurait dû être Thompson, mais il l'a changé dès qu'il a eu dix-huit ans pour prendre celui de sa mère. Il était hors de question qu'il garde de patronyme lié à son paternel qu'il détestait tant. Il a pris celui de sa mère, tout simplement, parce qu'il n'était pas attaché à qui que ce soit assez fort pour prétendre au fait d'utiliser son nom. Prénoms : Kaolin Jackson. Il n'a jamais su d'où ce nom venait, et il s'en moque pas mal. Cela lui convient très bien comme nom. Original, sans être susceptible d'attiser les commentaires malveillants. âge : Trente-neuf ans. La quarantaine est pour très bientôt. En quoi c'est différent ? Bof, pas grand-chose. Il n'a pas prévu faire une quelconque crise de la quarantaine. Un nouveau départ peut-être, qui sait ? date et lieu de naissance : Le quatorze février mille neuf cent soixante-seize à New Haven, Connecticut, USA, la deuxième plus grande ville de l'état. Il est originaire d'un quartier mal famé, et sa naissance n'a rien à voir avec un produit d'amour ou un truc du genre. Statut matrimonial : En couple avec une magnifique blonde. Celle qu'il aime depuis qu'il est adolescent et pour qui il veut devenir un homme bien, vraiment. Ses faits et gestes dépendent de la femme qu'il aime maintenant, parce qu'elle est devenue sa raison de vivre. Orientation sexuel : Iréliasexuel. Hétérosexuel. Il a toujours été du genre coureur de jupons jusqu'à aujourd'hui. Ça ne lui fait plus du tout envie. Métier : Préposé à l'entretien à l'université. C'est le premier boulot qu'on lui a proposé quand il est sorti de prison. Il n'a pas pu faire le difficile dessus, parce que sans diplôme, sans qualification, il est difficile de faire quoi que ce soit de légal et convenable. Pour le moment, ça lui convient, même s'il commence doucement à songer à faire quelque chose de mieux, quelque chose qui lui plairait vraiment pour une fois. Situation financière : Suffisante pour payer les factures. Son salaire de concierge le fait vivre, certes, mais il ne peut pas se payer des luxes et ça le chicote un peu. Il aimerait gâter Irélia mais en ce moment, c'est plus elle qui le gâte, et ça le gêne un peu, même s'il ne le dit pas. Qualités : Loyal, dévoué, indépendant, débrouillard, altruiste, généreux, romantique. Défauts : Jaloux, colérique, renfermé, distant, maladroit, dépendant, torturé, orgueilleux. Groupe : Les adoptants. Avatar : Ryan Gosling.  



Aimez-vous Fairwalk ? Pourquoi ? répondez en trois lignes. Depuis quand vivez-vous à Fairwalk ? répondez en trois lignes.  Quel est votre rituel du matin ? répondez en deux lignes. Quel est votre pire cauchemar ? répondez en trois lignes. Quel est votre plus grand rêve ? répondez en trois lignes.  Quel est votre plus grand regret ? répondez en cinq lignes. Quelle est votre plus grande fierté ? répondez en cinq lignes. Dites-nous quelque chose que personne ne sait sur vous : répondez en deux lignes. Il est temps d'en savoir un peu plus :  décrivez votre personnage en un minimum de cinq points. Cela peut concerner ses goûts, ses hobbies, ses manies, ses habitudes, ses tics, ses phobies ou ce qui l'aime...  ❧ écrire ici.  ❧ écrire ici.  ❧ écrire ici. ❧ écrire ici.


Pseudo : Mayiie. Prénom : Marilyne. Pays/Ville : Montréal, Canada. âge : Vingt-cinq ans. Scénario ou Inventé : Inventé. Comment as tu découvert yfiny ? De la même façon que Victoria & Nathaniel (a). Fréquence de connexion : Tous les jours avec au moins un compte. Autre chose ? Je vous aime très fort I love you.

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Code:
❦ <pris>Ryan Gosling</pris> - kaolin j. underwood




Dernière édition par Mayiie le Mer 20 Jan - 14:53, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Kaolin J. Underwood - Your Fate is Not Yours Kaolin J. Underwood - Your Fate is Not Yours EmptyMer 20 Jan - 14:23





c'est l'histoire de ma vie

et j'en suis le personnage principal

10 ans
Je me protège le visage, impuissant. C’est la seule chose que je peux réellement protéger. Le reste de mon corps souffre sous les coups, mes oreilles ont envie de saigner tant il hurle, tant il m’injure. Ce n’est pas la première fois que ça arrive. Il fait toujours ça, chaque fois qu’il en a l’occasion, que quelque chose le met en colère. Ça fait six ans que ça dure, depuis que maman est décédée, en fait. J’étais trop jeune, mais je suis persuadé qu’il la frappait, elle aussi, et que finalement, ce n’est pas son overdose qui l’a tuée; c’est qu’elle en a eu marre de le supporter. En tout cas, moi je sais que je ne le supporterai pas plus longtemps.  Au bout d’un moment, il cesse de frapper, et là, je sais que c’est le moment où jamais d’agir; de toutes mes forces, je le pousse. Je veux le plaquer contre le mur, mais je ne fais qu’atteindre la porte, porte qui donne sur le balcon et qui, finalement, fait en sorte que je le pousse par-dessus le balcon du troisième étage de notre immeuble. Il crie une dernière fois, puis un bruit sourd se fait entendre. Je me risque à regarder, puis je le vis, les membres positionnés d’une façon inhabituelle, je compris qu’il n’y avait rien à faire. Je ne venais pas de tuer mon père; je venais de me libérer d’un fardeau incroyable. Les larmes aux yeux, non pas de tristesse, mais d’émotion, je courus hors de la pièce, puis je me rendis au rez-de-chaussée, trouvant la première personne pour dire, paniqué : « Mon papa ! Il est tombé du balcon ! » J’étais conscient que j’étais en train de mentir pour sauver ma peau, mais je savais aussi que je m’en sortirais; qui ne pouvait pas croire un enfant de 10 ans en pleurs ? Enfin, certainement pas cette dame que je venais d’arrêter dans l’immeuble qui s’occupa d’appeler l’ambulance, les pompiers, n’y voyant que du feu sur ce qui s’était réellement passé, comme tout le monde, d’ailleurs.

14 ans
Comme je le faisais à chaque soir, voire même au début de la nuit, j’entrai par la lucarne du grenier de la maison de ma nouvelle famille d’accueil. Voilà seulement un mois que je m’y trouvais et pourtant, ils avaient déjà oublié que j’existais. Pour eux, tout ce qui comptait, c’était d’avoir leur argent, tout simplement. Mais pour la première fois de ma vie, je m’en moquais; pour la première fois de ma vie, je comptais pour quelqu’un, et ce n’était pas ma famille d’accueil. À présent dans ma chambre, je retirai mon sac à dos de sur mon épaule, puis je vidai son contenu sur mon lit; quelques sacs de croustilles, des barres de chocolat, et surtout, une centaine de dollars. Ce n’était pas grand-chose, mais ce fut assez pour me faire sourire de toutes mes dents; ce butin, ça représentait ma part, et cette part représentait le fait que maintenant, je faisais partie d’un groupe. J’étais reconnu par quelqu’un, et ça, rien ni personne ne pourrait me l’enlever à partir de maintenant. Aucune famille d’accueil, aucun enseignant, rien ni personne ne pourrait faire quoi que ce soit. Tout sourire, j’avais déjà hâte au lendemain, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps maintenant. J’avais à présent une raison de vivre.

32 ans
Le verdict venait de tomber; j’irai dans une prison fédérale pour dix ans, ou peut-être moins, si je me comportais convenablement une fois derrière les barreaux. Bouillant de rage, je ne sus faire autrement que de me laisser conduire à la voiture cellulaire qui va retourner me conduire au centre de détention, là où je prendrais le peu d’affaires que j’avais pour finalement être transféré. Les poings serrés, je regardai pour une dernière fois l’extérieur depuis la fenêtre teintée, n’arrivant tout simplement pas à croire que j’étais arrivé là. Cela faisait presque vingt ans que je travaillais pour eux, vingt an que je n’avais pas cherché à faire autre chose que de voler, faire ce qu’on me disait, voire agresser des gens si cela était nécessaire. Toujours, j’avais fait le nécessaire pour soutenir les autres, ne jamais dénoncer qui que ce soit, puisque c’était soi-disant la règle d’or. La règle d’or, ils pouvaient se la mettre où je le pensais maintenant. À la première occasion, j’avais été dénoncé, pris pour un idiot. Plus jamais je ne pourrais faire confiance à qui que ce soit, et surtout, plus jamais je n’allais travailler pour qui que ce soit. Maintenant, tout cela était terminé, et avec un peu de chance, peut-être croupirais-je derrière ces barreaux, histoire de ne pas devoir subir ce moment terrible de se chercher encore une fois.

38 ans
Chaque jour se suivait et se ressemblait. Le boulot ne change pas depuis plusieurs mois, et c’est tout simplement parfait comme ça. Pour le moment, même si je m’ennuie, même si c’est parfois long et barbant, je ne changerais rien. Je fais quelque chose qui n’est pas nécessairement compliqué, et même si je ne prends pas plaisir à le faire, au moins, je suis tranquille, et je n’ai pas à me chercher, à angoisser comme je croyais le faire au moment où j’avais obtenu ma libération conditionnelle. C’était même si je n’avais pas voulu l’avoir quand mon conseiller m’en avait parlé, disant que ma bonne conduite avait été remarquée et qu’après six ans, sur les dix ans prévus, parce que je ne savais pas ce que je ferais. Puis, on m’avait dit que j’aurais un travail, une protection, et j’avais accepté. Comment pouvais-je me plaindre ? Il n’y avait pas moyen, même si je n’avais pas le niveau de vie le plus élevé qui soit. C’était secondaire en fait, puisque maintenant, j’avais une raison de me lever le matin, soit d’aller bosser, errer dans les couloirs de cette université et même si je ne parlais à personne, c’était parfait comme cela. Après tout, on ne peut jamais savoir ce qui peut arriver par la suite, les surprises que la vie nous réserve, même si j’espère que dans mon cas, les mauvaises sont à présent toutes passées.

39 ans
Le texte ici


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